La tête ailleurs - Compagnie du Dagor

Pourquoi la CCAS vous propose cette rencontre culturelle ?

La pièce de Gwendoline Soublin questionne la place de l’imaginaire dans nos vies. Et ce n’est pas rien. Les enfants et les adultes sont rarement d’accord sur cela. On demande souvent aux enfants d’être « moins rêveurs », quelle drôle d’idée. Mais les adultes ont-ils encore des rêves ?

L'événement

Voltarine est triste et un peu perdue. Dans son quartier, on vient de détruite la Tour 53, celle où elle a tous ses souvenirs d’enfance. Voltarine est une femme déjà âgée, elle a 70 ans, mais, ce jour-là, comme dans un rêve c’est sa mère qui lui apparaît. Sa maman ? Oui mais jeune, à l’âge où Voltarine n’était encore qu’une enfant. Le dialogue s’engage entre ces deux femmes, entre une mère qui a toujours eu les pieds sur terre et sa fille, que l’on a toujours considérée comme une rêveuse. Mais est-ce bien la réalité ?

Présentation de l'artiste
Compagnie du Dagor

Soublin : Marie Blondel, Julien Bonnet et Thomas Gornet ont appris ensemble le métier de comédiens. Ils co-dirigent aujourd’hui la compagnie du Dagor. Ils y créent leurs pièces sur les textes de Thomas Gornet, qui est également auteur, ou sur ceux qu’ils demandent à d’autres d’écrire pour eux. Car c’est bien le théâtre, celui des textes d’aujourd’hui, qui est le fil rouge de la compagnie depuis bientôt 25 ans. Sur scène, les comédiennes Danièle Klein et Hélène Cerles interprètent les personnages de Voltarine et de sa mère.